Cookies and Guns

Bonjour à tous *si il y a encore quelqu'un ici - jette un rapide coup d'oeil et ne voit personne - se cure discretos le nez* - HAAA merde, ya quelqu'un O_O

Alors zéro inspiration pour cet article, mais entre ça, ou réviser proba, mon choix est fait ! X_X Oh, je sais ! Je vais vous parler des examens, tiens, en voila un sujet croustillant (comme les chips que je ne suis pas en train de manger - la vie est dure parfois).

Alors, la session n'est pas encore finie, il m'en reste deux : anglais (LOL) et proba (un peu moins LOL mais pas le pire non plus). Parce que oui, le pire est derrière moi (attends, j'ai pas encore vu les cours du second quadri non plus - hahaha). MACROECONOMIE est (en théorie) réussi ! Bon, en même temps, j'avais quand même consacré un tiers de mon blocus à le peaufiner, si je le réussissais pas ici, j'aurais pas fait mieux en août. Et le pire, c'est que ce cours était tellement difficile que c'était limite agréable de remplir la feuille d'examen en se disant *putain, c'est bientôt fini*. Oui, je soule tout le monde avec ce cours, mais voila. 

Les deux autres examens qui me foutaient un peu la trouille étaient les oraux : Droit fiscal (peu de pages mais TRES flou) et Finances publiques (200 pages de textes très théoriques). Hahahahaha, comme je m'ennuie (et que je ne veux plus réviser proba aujourd'hui), je vais te raconter tout ça. 

Alors lundi : droit fiscal. Déja, j'arrive une heure trente avant l'heure de début. Parce que oui, une unif, c'est un gros bordel et que les listes de passage organisées à l'avance, ça connait pas. Du coup, j'arrive pas la première mais puisque personne ne voulait passer en premier...je saisis cette chance. Je me dit qu'au point où j'en suis, passer MAINTENANT ou attendre pour voir les questions que les autres ont eu, ça me servira à rien car même si ils ont une question sur de la matière que je connais pas, j'ai quand même pas le temps de l'étudier dans le couloir (bruyant, au passage). Bruyant car oui, nous sommes une petite quarantaine JUSTE POUR LE MATIN, quand je vous dit qu'ils sont marrants, dans les unifs. Donc voila, le prof arrive un peu en retard, je rentre dans son bureau, pas (encore) trop paniquée. Il est trop tard pour reculer de toute façon. Mais une fois assise sur la chaise, ma robe me comprime complètement les poumons/le ventre. J'aime bien cette robe, mais franchement, elle est chiante ! Du coup, le prof pose sa question. Une pas trop méchante, un thème encore large. Je blablate et là....MA VOIX TREMBLE A CREVER! Les oraux ne me dérangent pas en général, mais là, c'était vraiment bizarre. Le prof change de sujet très vite, limite il donne un mot et je dois rebondir dessus immédiatement. Je n'avais jamais passé un examen sans "temps de préparation" mais c'était hyper intense point de vue concentration. Bref, je blablate super vite et sans articuler... Puis attends le verdict : 17/20 *se retient de sauter de joie*  Ne connaissant absolument pas les modes de cotations à l'unif, je m'attendais à un 14 genre "c'est la note maximum". Très bonne surprise pour le coup ! (pour être honnête, ce cours, je l'avais déja en grande partie vu lors de mes précédentes études et je crois bien que sans ça, j'aurais sans doute été coulée car c'était jamais simple de suivre le raisonnement au cours).

Finances publiques : second oral. Ces deux cents pages m'épuisent vraiment. J'me dis que si ça tombe, je dois expliquer un truc que je maitrise moins, m'embrouille et dois tout me retaper en août. J'essaie de relire un maximum la veille, mais ne nous voilons pas la face, relire 200 pages en une soirée, c'est chaud. J'avais fait des résumés mais bon, ce cours est tellement détaillé que les résumés servent pas à grand chose. Je suis dans le groupe de l'après-midi. Pour l'examen précédent, tout le monde n'a pas su passer le jour prévu, et ça, comme la plupart des gens qui ont sacrifié pas mal de temps pour relire "ce cours et pas un autre", j'avais pas envie que ça m'arrive. Je prend contact avec une fille du groupe du matin que j'apprécie. Mon plan d'attaque est de m'incruster dans le groupe du matin si ils sont peu nombreux. Je passe bizarrement une bonne nuit (avec mon récurrent cauchemar du "je vais arriver en retard à mon exam", cauchemar apparemment célèbre chez les étudiants mais qui m'avait épargné jusqu'à présent.) Le matin, j'émerge difficilement et allume juste mon téléphone "au cas où". Et une dizaine de minutes après, je reçois un message : on est que six. Ni une, ni deux, je bondis du lit. J'ai moins d'une heure pour arriver à l'école, et si possible, présentable. Je m'habille en vitesse (encore cette satanée robe), zappe la douche, fais semblant de me maquiller mais abandonne vite, attrape mon sac et cours jusque l'école. Pas le temps de relire ce que j'avais prévu de relire le matin. Tant pis, je suis joueuse. Quand j'arrive dans le couloir, il ne reste plus qu'un seul élève à passer. Si j'arrivais dix minutes plus tard, je serais venue pour rien. Je sors fébrilement mes feuilles et relis en vitesse, en essayant de reprendre mon souffle (escaliers = pas cool). Puis c'est mon tour. Je pioche deux questions, m'installe pour les préparer et....OMFG NON ! Une question sur une notion très abstraite à expliquer. Et une question sur le premier chapitre, celui qui est pas trop dur mais que JE DEVAIS RELIRE CE MATIN ET QUE J'AI PAS FAIT POUR EN FINIR PLUS VITE. Je griffone un immonde graphique sur ma feuille, essaye de me souvenir d'un max de détails. Je regarde un peu les autres, ils font une belle copie, des phrases suivies qu'ils expliquent ensuite devant le prof. Sur ma feuille, ya que des mots clés PARTOUT, même dans la marge, rien est dans l'ordre, la panique me gagne. Je n'ai aucune idée de par quel bout commencer mon discours mais tant pis. Puis je râle comme un petit bouc pour la question facile que j'ai pas relue, JE SAIS qu'il y a trois points à citer, mais ne me souviens que d'un seul. J'invente le second par déduction, en restant très floue genre "c'est ça". Mais le troisième, pas possible. Et là, une minute avant mon tour : ILLUMINATION : je me souviens de ce dernier point. Ensuite, je vais raconter tout ça devant le prof. Je ne suis pas tellement stressée car il met les gens à l'aise et puis, de tous les étudiants qui sont passés avant moi, aucun n'avait raté. Je m'en sors quand même moins mal que prévu. Quand je vois qu'à la première question, il met 8/10, je me dit "okay, te relâche pas mais ça semble bon". Et après un blabla sur la seconde question (avec ma super réplique "...idée reprise par Keynes dans les années 50's", ce à quoi le prof a répondu "Keynes est décédé en 1946" - HUM), je réussi à décrocher un 16,5. SOULAGEMENT ! Je rentre limite en sautillant. De l'aprem, je fous pas grand chose, j'essaie de relire Math Financières. Ce cours ne me semble pas tellement difficile, le syllabus est clair et le prof explique vraiment bien (et j'avais déjà vu cette matière dans mes précédentes études aussi *BLAM*). Cependant, le prof nous fout la pression avec son "MON VRAI OU FAUX DEMOLIT TOUT LE MONDE-MUHAHAHA". Ce que je peux confirmer. Je trouve les questions TRES éloignées du cours (tout en ayant un lien quand même). C'était plutôt de la réflexion, mais c'était quand même vicieux à mort. C'est là que tu te rends compte que les points négatifs, C'EST LE MAL !
Je sors avec une sale impression, me disant que "NON, pour l'instant ça s'est bien passé, je veux pas le refaire en aooooooût" ! Mais voila, je dois attendre six heures avant de passer la partie pratique sur Excel. Au départ, j'attend à l'école, on sait jamais qu'une place se libère et que je passe plus tôt. Finalement, j'aurais vite renoncé et rentre chez moi (SOUS LA PLUIE). Je patiente de regardant Big Fish, qui au passage, est un superbe film alors sautez dessus si ce n'est déjà fait ! Puis je refais en vitesse un exercice mais flemme. Les exercices ne sont pas trop difficiles quand on a compris la logique, mais ce sont tous des petits détails auxquels il faut faire GAFFE A MORT ! Mais l'ennui, c'est que je suis archi crevée et qu'on a vraiment peu de temps pour les faire. Je me vois déjà à lire à moitié l'énoncé, mettre une mauvaise formule et PAK, retour en août ! J'arrive un peu plus tôt, j'espère passer dans le premier groupe car il est déja 16h (ET JE SUIS CREVEE). Heureusement, j'arrive à m'installer et essaie de choisir un pc en lequel je puis avoir confiance (ce qui est pas gagné vu que le seul pc en qui j'ai confiance, c'est le mien, et ENCORE!). Là, on a l'énoncé, l'examen commence. Je fonce sans trop trop réfléchir aux montants, trente minutes pour trois exercices dont un vraiment détaillé. Pendant l'exam, le pc d'un élève redémarre (à cause d'une mise à jour sans doute). Je flippe pour le reste de l'examen, hahahahaha (on devait travailler en lecture seule sans enregistrer). Je termine mon dernier calcul pile quand le prof demande de lever nos papattes des claviers. Je suis crevée, encore un examen super intense. Je regarde autour de moi mais arrête très vite pour ne pas me dégouter. Et là, commence....l'attente. Le prof passe voir notre fichier et le corrige immédiatement. Par ordre alphabétique. Et merde. Quarante minutes, c'est vite long. Et le pire, c'est que pendant ce temps là, une assistante nous rend les copies du matin, pour que le prof y indique nos points. Et je vois que j'ai raté le vrai ou faux d'un demi-point. Je râle, et commence aussi à paniquer un peu, parce que si un de mes calculs est pas bon, ça fait BEAUCOUP de points perdus. Pas mal de gens avant moi n'ont malheureusement pas réussi. J'angoisse encore plus du coup ! Mon tour arrive enfin, après de longues minutes de stress (je devais prendre un train vite après aussi). J'ose limite pas donner mes réponses. Et là, OMG, elles sont correctes ! Ma boulette du matin est rattrapée ! JE RESPIRE ! A coté de ça, il y a encore eu Math et Marketing, mais j'y crois...sauf grosse surprise, évidemment.

Voila mon palpitant récit de la semaine. Il doit pas passionner grand-monde, hormis ceux qui compte faire une passerelle en économie... Des volontaires ? X_X

Cette session est très bizarre. Par rapport à mes précédentes études, j'ai l'impression qu'il y a moins, mais en même temps, beaucoup plus. C'est vraiment étrange. Le fait d'avoir déja vu pas mal de matières auparavant allège pas mal l'effort, mais à coté de ça, il y a des énormes cours totalement nouveau à comprendre (*vise pas du tout MACRO*). 
C'est la première fois que je suis aussi détendue pendant une session (sauf à cause des horaires de passages des oraux complètement chelou, mais bon), mais en même temps, j'angoisse pour les examens depuis le 15 septembre. C'est la première année que je travaille autant pendant l'année, sans vraiment étudier par coeur, mais au moins lire, comprendre, refaire les exercices,... et je pense que c'est ça qui m'a sauvé. La différence avec mes précédentes études, c'est qu'il y a beaucoup moins de questions par matières. Avant, si je n'arrivais pas au bout d'un chapitre ou comprenais moins bien un point, ce n'était pas dramatique car il y allait peut-être avoir une seule question sur vingt là-dessus. Ici, c'est souvent deux ou trois questions. Et si ça porte sur ce que tu maitrises moins...

Mon frère est également à l'unif mais dans une autre option. Il passe énormément de temps sur ses cours (d'ailleurs, au moment où je tapote le clavier, lui, il travaille). Et son travail acharné paie puisqu'il réussit toujours super bien. N'ayant pas de repères sur le "comment ça se passe à l'unif", je culpabilisais pas mal de travailler moins longtemps que lui, genre "lui il sait combien de temps il faut relire alors que moi, bercée d'illusions, je suis à coté de la plaque". Mais en fait, j'ai appris qu'il ne fallait pas se comparer aux autres (surtout s'ils n'ont pas les mêmes options que vous ^_^). Je suis très motivée à réussir, pour pouvoir réorienter un peu ma carrière qui a commencé de manière très bizarre. Je sais aussi que si j'étais entrée à l'université à 18 ans, ou même, directement après mes études sans passer par la case "boulot", je n'y serais pas parvenue. Les cours ne sont pas toujours des plus intéressants, enfin de mon point de vue, ne le sont pas assez pour me pousser à les travailler "par plaisir" (comme je le faisais plus volontiers avec mes cours de compta). La seule chose qui me motive vraiment, ce sont les conséquences d'un éventuel échec : retourner travailler à Bruxelles et essayer de devenir enseignante par un autre moyen, mais le chemin est beaucoup moins évident avec mon diplôme actuel. Je ne regrette donc pas d'avoir choisi cette carrière un peu bizarre. Tout d'abord, elle m'a permis de rencontrer une personne qui est vite devenue très importante pour moi, et qui va sans doute changer une bonne partie de mon avenir. Et ensuite, elle m'a poussé à reprendre les études, ce qui m'a sans doute éviter le regret de "ne pas avoir tenter l'unif". C'est bizarre, mais je sentais que je n'allais pas me plaire à l'université. Paradoxalement, je sentais que si je n'essayais pas VRAIMENT, je le regretterais amèrement plus tard. Travailler m'a en quelque sorte ouvert les yeux. Effectivement, l'université ne me plait pas, mais je pense avoir suffisamment "muri" (ce mot est immonde) pour me rendre compte que ce n'est qu'un détail par rapport aux gains que je peux obtenir si j'arrive au bout.
Cet article est quand même spécial. J'avais sans doute envie de décompresser un peu par rapport à tout ça. Mais j'aimerais conclure par une phrase un peu cliché, mais tellement vraie. Si votre situation ne vous plait pas, faites tout ce que vous pouvez pour en changer ! VRAIMENT tout ! ET MAINTENANT ! Les regrets que j'aurais pu éprouver si je n'avais pas fait ce choix auraient fini par me démolir. Dès que j'ai pris ma décision, j'allais au boulot le cœur plus léger. N'écoutez pas les autres, même si leurs expériences sont parfois utiles. ILS NE SONT PAS VOUS. L'année 2010 a été pour moi l'année de la passivité on va dire ça comme ça. Je me suis laissée guider sans réfléchir, j'ai un peu sauté sur le premier boulot venu (ce qui en même temps, se comprend quand on sort seulement de l'école). Mais en 2011, je ne sais pas...cette année a été tellement folle, tout a changé de direction ! Les prochaines années s'annoncent au moins aussi dingues et ça me rend heureuse. J'ignore toujours ce que je vais faire de ma vie, mon objectif actuel est de devenir enseignante, mais parfois je me demande si j'ai vraiment la patience et le caractère pour...Mais ça peut changer, ne pas savoir est excitant et effrayant. Qui sait...Je n'ai jamais été aussi motivée de ma vie.

Je crois d'ailleurs que cet article-fleuve en témoigne -hahaha.

4 commentaires:

Ellenat a dit…

Coucou! Je suis contente de savoir que Bliss t'as plu! Haha j'ai toujours un peu les pétoches de conseiller des films qui vont pas plaire xD Et j'ai vu dans ton article que tu avais vu Big Fish!! Je l'ai vraiment adoré ce film <3

Et je suis aussi contente de savoir que tes examens se passent bien :3 Moi ça commence dans 3 semaines mais j'ai 2 épreuves isolées mercredi prochain et début février. Et c'est important que tu sois contente de ton choix, ta motivation pour le futur et tout. C'est vrai que y a rien de pire que les regrets, faut toujours tenter :) (Fin j'dis ça à 17 ans et demi alors que j'ai pas encore vécu vraiment mais bon) J'espère que tu arriveras à ton objectif ! \o/ Bisouus ♥

Céline a dit…

Je suis vraiment contente de voir ton nouvel état d'esprit. Ca fait plaisir.
Mon histoire rejoint un peu la tienne sur un point: si je n'avais pas tenté l'unif, je l'aurai aussi regretté et je pense que je n'aurai pas été aussi motivée en compta. Mais il m'a fallu plus d'un an pour le comprendre.

J'ai aussi appris une deuxième chose : ne jamais se projeter trop loin dans l'avenir car se passe rarement comme on l'avait imaginé (et après, c'est la déception)

En tout cas, encore toutes mes félicitations ! (J'ai pris congé aujourd'hui pour étudier car je dois passer un petit test demain pour le boulot et j'ai un mal de chien à m'y mettre... tu m'impressionnes ;) )

A bientôt

Musti a dit…

A Ellenat : oh, tu as toujours de bon gout (: Maintenant que Megavideo is Dead, ça va être dur d'avancer dans ma liste de choses à voir mais bon, petit à petit (: Non, franchement, belle découverte !

Oh et bien courage à toi aussi ! Pfff, les épreuves, c'est le mal. Là, j'ai enfin une semaine de répis, puis les cours recommence. Les noms des nouveaux cours m'inspirent pas tellement confiance, mais en même temps, ya tellement de congé que ça fait que 12 semaines. Et les regrets, on peut en avoir à n'importe quel âge (: Il suffit de faire (ou ne pas faire) quelque chose pour en éprouver :/

Courage !

A Céline : Arf oui, je comprend bien tes récits sur l'unif maintenant. Tantot, une fille de ma classe (qui va arrêter) m'a demandé si les cours me plaisaient, vu que pour le moment, je les ai réussi. Je lui ai répondu que non, mais elle semblait pas comprendre. Franchement, la compta me maaaanque ! Mais c'est clair que je comprend mieux ta motivation en compta maintenant ! C'est vrai que plus la "direction" qu'on prend devient précise, plus la motivation grandit.
Merci pour ton deuxième conseil aussi ! Avant, je faisais tout le temps ça et ça m'angoissait vraiment ! Maintenant, je me dis que je prend les choses comme elles viennent et que si je finis dans une banque au lieu de prof et que ça me plait et bien tant mieux !

Oh courage pour ton test ! Ca porte sur quoi ? Là, je viens de sortir de mon dernier examen ET JE VAIS DORMIR ! Au début, jusque novembre, j'ai vraiment eu du mal à m'y remettre mais là, ça va, ça revient ^^. Bon courage à toi !

Bisouu !

Céline a dit…

C'était mon fameux test de compta... Je ne devais donc pas vraiment étudier mais plutot relire certaines écritures (du style : actionnaire défaillant lors d'une augmentation de capital ou le leasing...). Et rien que ça, j'ai eu du mal à m'y mettre (faut pas demander quand je devrais vraiment m'y mettre pour des exams de TVA). Sinon, j'ai réussi le test (enfin j'espère, sinon il y a un fameux problème quelque part !).

Profites bien de ta semaine de congés, tu l'as bien mérité.

A bientôt